Dangerous Critters
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Dangerous Critters :: + Présentation & Personnage + :: Présentation & Personnage :: Présentation :: Présentation
 

 Liam ; Alma quebrada e não obstante o assassino impiedosamente ; [U.C]

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Liam C. Campbell
Snake's Tribe || Evil & Dangerous

Liam C. Campbell


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MessageSujet: Liam ; Alma quebrada e não obstante o assassino impiedosamente ; [U.C]   Liam ; Alma quebrada e não obstante o assassino impiedosamente ; [U.C] EmptyLun 4 Jan - 4:38


♠ LIAM CAMERON CHU'A CAMPBELL ... ”




Liam ; Alma quebrada e não obstante o assassino impiedosamente ; [U.C] Nalnp
Taylor Lautner		■ Vous en long et en large :

Soyons honnête. Juste un seul instant. Pourquoi ?
Parce que nous ne nous connaissons pas et pour
débuter une relation saine, il faut un minimum de
courtoisie et d'honnêteté, sinon aucune relation,
même la plus basique, serait totalement inconcevable.
En quoi le fait de connaitre mon identité vous avancerais
à quelque chose ? Que je m'appelle Pierre, Paul ou même
Jacques, qu'est-ce que cela peut-il bien vous procurez
de plus ? J'ai porter de nombreux prénom, j'ai porter
aussi de nombreuse facette. Aujourd'hui, je ne sais
même pas si quelqu'un me connait vraiment. Moi-même
j'ai des doutes. Alors à quoi bon ?Et puis de toute façon
j'ai toujours eu tendance à fuir, où à tuer ceux qui en savent
un peu trop sur moi. Donc tu vois je te rends service.


Dernière édition par Liam C. Campbell le Lun 4 Jan - 4:55, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Liam ; Alma quebrada e não obstante o assassino impiedosamente ; [U.C]   Liam ; Alma quebrada e não obstante o assassino impiedosamente ; [U.C] EmptyLun 4 Jan - 4:39
    Prologue



    Mon histoire pourra sans doute vous paraître ironique. Vous direz aussi que c'est du déjà vu. Mon histoire aurait pu être raconter à la place de celle d'un autre grand personnage, assez présent dans les pays Judéochrétiens. Et pourtant, je dirais même, malheureusement, c'est la vérité. N'essayez pas de psychanalyser ce que vous lirez, n'essayez pas de comprendre, si j'essaye de me rendre intéressant avec cette histoire aussi rocambolesque, n'essayez pas de comprendre. Lisez tout simplement. Peut-être que certains auront l'impression, qu'un message mystérieux se cache à travers mes lignes. Que je suis le nouveau guide, d'une toute nouvelle religion et que mon histoire est le début, comme ce fut le cas pour cet autre personnage. Et bien je préfère rassurer tout le monde, mais aussi prévenir et indiquer, qu'aucun message n'y est caché. Aucun enseignement, ni même aucune néo-religion ne naîtra grâce ou avec mon histoire.
    Vous ne comprenez pas tout pour le moment ? Normal, je n'ai pas encore commencé. Le chapitre un, pourtant n'est pas si loin, mais je préfère vous mettre en garde. Vous aurez cette impression de déjà vu, du moins cette impression de « déjà lu » ou de « déjà entendu » et pourtant, ceci est simplement mon histoire et pas celle d'un autre. Du moins cette impression de déjà vu, ne se manifesteras qu'au tout départ, ensuite, vous comprendrez très vite, pourquoi, même si un message était glissé dans ce texte, vous ne pourriez adhérer aucunement à ma religion, enfin à la néo-religion qui aurait pu être créée, via mon histoire.

    Cette histoire, mon histoire, ne sera pas racontée par moi. Bien sûr, je ferais quelques remarques par-ci ou par-là, mais en aucun cas, je ne raconterai moi-même mon histoire. Pourquoi ? Et bien tout d'abord, parce que je ne me souviens pas de tout les détails et puis en plus, je ne parle pas de moi facilement – comme vous avez pu vous en rendre compte. Mais ne vous inquiétez pas, j'ai confié cette mission à quelqu'un de confiance. Cette personne à été là du début jusqu'à la fin, et sera là avec moi à chaque instant.

    Même si pour le moment, vous devez, sans doute, ne rien comprendre à mon charabia. Même si vous vous posez la question de savoir, si ce texte n'est pas un texte philosophique où dès le troisième mot on a oublié de quoi parlait le texte, je vous rassure et vous affirme, que vous comprendrez très vite. Tout ces messages de départs, tous ces mystères et toutes ces phrases, sans sens réel, seront éclaircits au cours du récit, de ce fameux récit, au cours du récit de mon histoire.

    Je tiens tout de même à vous informer que mon histoire, n'est pas des plus passionnantes, ni l'une des plus roses. Je n'ai pas à me plaindre. En fait, je ne me plains presque jamais. Mon histoire est comme celle de n'importe qui. Chacun porte son fardeau, chacun porte sa croix, chacun porte son histoire sur ses épaules. C'est ainsi. Voilà tout. Vous pourrez me jugez, vous pourrez aussi me haïr, me détester et même ne jamais vouloir me rencontrer. Vous pourrez aussi m'aimer, ou m'adorer -même si j'en doute fortement. Tout du moins j'espère que malgré ce que vous pourrez ressentir à mon égard, malgré ce que vos convictions personnels et ce que votre conscience vous dira d'agir à mon encontre, j'espère que vous comprendrez mon histoire. Je n'essaye pas de pardonner mes actes, je n'essaye pas non plus à me faire des amis, ou d'attirer l'attention sur moi, parce que je suis une âme en plein écorchée vive. Oh non, loin de là. Je veux juste simplement, qu'à un moment, au fil de cette histoire, vous vous mettiez à ma place. Posez vous les bonnes questions. Et alors vous aurez les bonnes réponses.

    - Liam -


Dernière édition par Liam C. Campbell le Ven 8 Jan - 3:44, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Liam ; Alma quebrada e não obstante o assassino impiedosamente ; [U.C]   Liam ; Alma quebrada e não obstante o assassino impiedosamente ; [U.C] EmptyLun 4 Jan - 4:40
    Chapitre un « Enfant sauvé des eaux ... Non, il ne s'appelle pas Moïse, mais Miguel Dos Santos ... ou Chu'a Tallulah »




    Au sud de Chicago

    Il faisait noir. La nuit était tombée depuis seulement deux heures, mais la lune blanche, pleine, était déjà bien haute dans le ciel étoilé. Il n'était pas loin de minuit. Cela faisait maintenant quatre heures qu'il dormait. Elle était enfin soulagée. Pour eux deux, la journée avait été longue, et je pense que cette journée là sera gravée dans la mémoire de la jeune femme. Elle était perdue, totalement dépassée par les évènements, mais en même temps tellement heureuse. Elle serrait l'enfant enroulé dans une couverture de laine bleue, très fort contre sa poitrine. Elle paraissait fatiguée, mais pourtant, elle se pressait. Comme une fuyarde, une paranoïaque, elle regardait toujours derrière elle. Dès le moindre bruit, la moindre ombre, son rythme cardiaques s'accélérait. Elle ne marchait pas vraiment. Mais ne courait pas non plus. Elle regardait aussi de temps en temps le paquet qu'elle serait de plus en plus fort contre son cœur. Comme si cette étreinte, pouvait durer éternellement et comme si elle pouvait laisser une quelconque trace sur son corps.

    Elle paraissait jeune. Elle devait avoir aux alentours des vingt cinq ans. Les cheveux noirs, des yeux ébènes et une peau métissée. Une Latino. Mexicaine, ou peut-être même Brésilienne. Comme ça on ne pouvait pas bien voir. Bien qu'ayant un visage harmonieux, elle n'était pas une beauté fatale. Simple. Normale. Un peu passe-partout. En tout cas, ce qui était sûr, c'est que ce n'était pas sa beauté qu'on aurait pu remarquer chez elle, mais plutôt son teint fatigué et blafard. Des veines rouges ressortaient aux cotés de son iris. Des cernes noires accentuaient le tout. Et sa respiration haletante, pouvait même faire peur. En fait, elle faisait vraiment peur.

    Elle était sortie. Elle avait profité que le petit s'endorme enfin, pour quitter l'hôpital en douce. Fort heureusement, il s'endormit durant la nuit, ce qui facilita les choses. Et elle avait marché durant deux heures, avec le nouveau né dans les bras, à travers toute la ville. Mais plus elle marchait, plus les lumières éclairant la chaussée se faisaient rares. Elle savait très bien où elle voulait aller. Il fallait juste qu'elle y arrive avant qu'il ne la retrouve. Qu'il ne les retrouve. Elle savait qu'elle était en danger, mais que le bébé aussi. Elle aurait pu le laisser la-bas à l'hôpital, mais elle savait qu'il aurait tout fait pour retrouver sa trace. Il aurait tout fait pour récupérer la garde. Il aurait montrer qu'il était bel et bien le père de cet enfant, il aurait tout fait pour qu'il grandisse et reprenne l'affaire. Mais elle ne voulait pas de cela pour son enfant. Non elle voulait une vie meilleure. Elle espérait, qu'avec toutes ces prières, qu'avec tout son amour, son cœur et son âme, le plan qu'elle avait échafaudé depuis maintenant quelque temps, allait bel et bien pouvoir se réaliser. Elle l'espérait. Mais avec lui, rien n'était jamais vraiment sûr.

    Elle se retrouvait dans le noir le plus total. Elle avait quitté la ville maintenant. Elle continuait à marcher. À croire qu'elle avait cette faculté de voir dans le noir. En tout cas l'obscurité la plus complète ne semblait pas la gêner. Mais elle n'arrêta pas sa course folle pour autant. Sa respiration toujours haletante, sa marche toujours aussi rapide, elle avançait vers sa destination finale, en sachant très bien qu'il ne faudrait plus que quelque instant, avant la séparation, pour un monde meilleur. Et même si elle avait voulu profiter, un minimum de son enfant, elle ne voulait pas prendre de risque. Elle était vraiment très intelligente. Cela se voyait au premier coup d'œil. La seul bêtise qu'elle avait pu faire dans sa vie c'était de l'avoir rencontré lui, le père de l'enfant, cet homme qu'elle voulait tellement fuir aujourd'hui. Elle savait aussi qu'elle ne pourrait pas accompagner son enfant. Elle savait qu'elle allait devoir l'abandonner et que elle, elle allait devoir rester dans la ville, ou fuir, au risque d'être retrouvée et tuée. Mais elle préférait cela. Maintenant elle n'avait pas peur de mourir. Si elle mourrait, c'était pour lui, pour son bébé, pour qu'il vive, pour qu'il ai plus de chance qu'elle dans sa vie. Et même si la destination finale de son enfant était encore indéterminée, elle savait que de toute façon, elle le retrouverait au paradis. Et que même, si personne ne venait à le retrouver, à l'élever, il mourrait tranquille et paisiblement, pour rejoindre Dieu. Ainsi, elle le rejoindrait de suite, une fois qu'elle aurait rencontré le père.

    Elle savait que cette philosophie, cette machination, ce plan était horrible et d'une injustice et d'une monstruosité inhumaine, mais elle n'avait pas le choix. Du moins, elle ne voyait aucune autre possibilité.

    Continuant son chemin, elle ralentit quelques instants. Elle arrivait. Enfin. Après deux heures et quarante cinq minutes à avoir marché de long en large dans toute la ville, elle était enfin arrivé à l'endroit qu'elle avait choisi, pour abandonner son enfant. L'herbe y était fraiche. Pourtant, en ce mois d'aout, la température de nuit de descendait pas en dessus de 20°C. Elle profita de cette instant de fraicheur et posa l'enfant sur le dos. Ils étaient maintenant l'un en face de l'autre. On aurait dit qu'il venait tout juste de prendre sa première bouffé d'oxygène. Et pourtant il avait deux jours. Bizarrement, il s'était réveillé, mais n'en avait pas averti sa mère, par des pleurs, où un quelconque gémissement. Il ouvrait les yeux. Ses yeux bleu marine étaient magnifique et sa mère lui sourit tout en lui baragouinant quelque chose d'inaudible. Puis, elle commença, tout doucement, à lui chanter une berceuse, pour que l'enfant se rendorme tranquillement. Tout en chantant d'une voix magnifique et mélodieuse, elle retira un collier avec un pendentif de son cou. Il s'agissait d'une chaine fine en or, avec en pendentif, un œil de serpent vert émeraude. Elle interrompit sa chanson pour parler à son enfant.


      « Voici l'œil du boa. C'est un symbole important pour maman chérie, mais qui est aussi un symbole, vraiment important pour toi aussi. Il te protégera et veillera sur toi, tout au long de ta vie, je te le promet. »



    Puis, elle se tut, pour recommencer sa berceuse. Elle le replaça dans la couverture de laine, puis le borda, confortablement. Des larmes, coulèrent sur ses joues, mais son chant raisonnait toujours. Elle se persuadait toujours qu'il s'agissait de la bonne décision, que c'était le seul moyen qu'elle avait et qu'elle ne pouvait procéder autrement. Elle se persuadait, mais même avec la meilleure volonté du monde, elle ne pouvait abandonner son enfant. Elle se refusait à le laisser partir. Elle imagina, alors, à cet instant le pire. Qu'il se noie. Qu'il meurt de faim et de soif, totalement déshydraté. Qu'il serve de repas pour certain crocodile vivant dans le fleuves d'eau douce. Sa peur, son angoisse, laissa place à des sanglots et des pleures bruillants. Elle ne se le pardonnerait jamais. Mais elle devait le faire. Elle le devait. Retrouvant son courage comme elle pouvait, elle alla chercher le panier en osier qu'elle avait cacher là quelques jours avant son accouchement en prévision de cet abandon. Elle plaça alors d'abord l'enfant dans un carton, puis dans le panier en osier. Elle avait choisis elle même le panier et elle avait fait des test avant, pour voir, si ce dernier pouvait servir d'embarcation sur et certaines. Au moins une inquiétude de moins, même si on ne pouvait jamais être sûr de rien.

    Embrassant, une dernière fois son fils sur le front. Respirant, une dernière fois son odeur si particulière, elle s'avança de plus en plus prés de l'eau. Elle y pénétra finalement. Un pied, puis l'autre. Puis, le niveau de l'eau augmenta jusque ses genoux, puis jusque son bassins. Elle pleurait de toutes les larmes de son corps. Elle ne voulait pas le lâcher.


      « MARIA !! NE FAIS PAS ÇA !! »



    Elle se retourna vers l'endroit d'où provenait le son. C'était lui. C'était Jésus, le père de l'enfant. Elle paniqua quelque secondes, puis déclara à voix haute:


      « DÉGAGE JÉSUS. SI TU FAIS UN PAS DE PLUS JE LE FERAIS. JE SUIS SÉRIEUSE. »



    Mais apparemment Jésus ne voulait pas l'écouter.


      « MARIA, TU FAIS ÇA JE TE TUE. UNE BALLE DANS LA TÊTE, C'EST ÇA QUE TU VEUX HEIN ? »



    Elle le regarda fixement. Pourtant c'était la pénombre totale. Même un chat aurait eu du mal à voir dans ces ténèbres, mais cela ne semblait pas gêner le jeune couple. On avait l'impression qu'il se voyait comme en plein jour. Ils devaient sans doute se fusiller du regard. La jeune Maria, pleurait toujours. Elle avait toujours son enfant dans ses mains. Elle regarda le ciel un instant. Le silence régnait. Seul le courant du fleuve et l'eau s'écrasant contre les pierres interrompait se silence de plombs entre ces deux personnes.


      « De toute façon, tu sais très bien que je suis plus forte que toi. Et que jamais tu ne pourra me battre en combat singulier. Et même si tu me tire une balle dans le corps, les courants puissants du fleuve auront emmener notre enfant au loin de puis longtemps. Loin de cet être affreux et horrible que tu es. » déclara la jeune Maria, d'une voix faible, mais tout à fait audible.



    On sentait bien que l'homme était agacée. Elle avait raison sur ce point là. Il espérait simplement qu'avec sa voiture, une fois le boulot terminé avec la mère, il pourrait suivre le cours d'eau pour repêcher le nourrisson. C'était le seul moyen de récupérer l'enfant.

    Tandis que le père vaquait à ses préoccupations et montait un plan pour pouvoir sauvé son fils des eaux, Maria embrassa une dernière fois son garçon sur la joue. Elle le serra aussi fort qu'elle le pouvait. Elle voulait garder ce souvenir, cette empreinte de lui sur sa peau, pour ne jamais se sentir loin de lui, pour ne jamais avoir l'impression de l'avoir abandonné. Elle le posa sur le carton, puis sur le panier en osier, qu'elle posa ensuite sur l'eau. Elle déclara d'un son aigu:


      « Que l'oeil du boa te protège mon fils, Miguel. Je t'aime mon fils. Jamais je ne t'oublierais. Maman veillera toujours sur toi. Adieu »
      « NON !!! »



    Une fois son discours terminé, elle se glissa jusqu'au bord de la rive, tout en évitant les balles tirées vers elle. Puis en à peine deux seconde, elle se changea en boa constrictor géant. Le serpent rampait maintenant vers son agresseur, tout en sortant sa langue fourchu. Jésus semblait avoir peur. Mais il tira deux nouvelles balles vers le serpent. La première ne le toucha pas, mais la seconde toucha la bout de sa queue. C'est alors que la douleur, obligea maria à retrouver son apparence. Elle susurra essoufflé, la gorge serré, par la tristesse, mais aussi maintenant la douleur:


      « Tu es minable, tu aurais pu te battre à arme égale. De toute façon maintenant c'est trop tard Miguel est déjà loin. Tu ne pourras jamais le récupérer. Jamais, il ne deviendra un petit dealer de drogue comme toi, jamais, il ne vivra au milieu des flingues et de cette tyrannie que tu impose aux personnes de cette ville. Jamais tu m'entends. Il sera heureux et vivra sans jamais de crainte. Crève Jésus. »



    Dans un dernière effort, elle cracha au pied de son agresseur. Les larmes toujours dégoulinantes sur ses joues, n'étais rien comparé au sang qu'elle perdait. La balle avait pénétré à l'intérieur de sa cuisse droite et était venue se ficher dans le sol. Elle avait traverser la chair tout entière de la jeune femme. Mais elle ne semblait pas souffrir, du moins sur son visage, on pouvait plutôt voir de la colère ou du dégout, mais aucunement de la souffrance. Elle rampa pour s'approcher de plus en plus de son agresseur, mais se dernier tira sa dernière balle en direction de la poitrine de la jeune femme. Elle mourut sur le coup. L'assassin s'approcha alors du visage de son ex-compagne. Il lui caressa le visage, comme pour essuyer les larmes qui coulaient toujours sur ses joues. Il s'approcha de son oreille et lui dit:


      « Tu vois, finalement je suis le plus fort. Je dirais à tout le monde que la couleuvre à finalement battue le boa constrictor. Et tu sais, maintenant que tu es morte, moi en vie, jamais je ne cesserais de traquer Miguel. Jamais je ne cesserais de le chercher. Et je te promet que je prendrais bien soin de lui au sein de ma société. »



    Une rire fuguasse. Un sourire qui s'effaça très vite de son visage. Il repartit en direction de sa voiture. Il démarra et repartit. Il laissa là, le cadavre de la jeune Maria, 25 ans, mère du jeune Miguel et tué le 11 août à 01H34 du matin.



    *****



    Dans une réserve indienne à plus de 350 Km de Chicago

    Bien que le courant eut été puissant, le jeune nourrisson entendit tout de même les coups de feu, ce qui le réveilla en sursaut. Il pleura. Et continuait sans cesse. Il pleura comme cela durant trois jours. Les courants continuait de le faire voyager. Mais personne ne le remarqua. Il avait faim, soif. Se petit bébé de seulement cinq jours venait de vivre plus de la moitié de sa vie sans boire, ni manger. Puis, il s'arrêta. Net. Il n'était pas mort. Non, pas pour le moment. Il était seulement tombé dans les vapes. Trop faible. Mais si personnes ne le secourait dans les minutes qui allaient suivre, il irais rejoindre sa mère très vite. Plus vite que prévu.

    Le courant continuait toujours de faire voyager le bambin. L'eau n'avait pas réussis à déborder à travers le panier en osier et le carton. Le bébé était maintenant devenu totalement livide. Blanc comme un linge. Mais brusquement, il fut recueillis. On venait de prendre le panier. On le posa quelque instant par terre, puis quelqu'un le pris dans ses bras. Le berça. Cette personne s'assura que l'enfant était toujours bel et bien vivant, puis ayant entendus son cœur battre faiblement à l'intérieur de sa poitrine, elle courut, tout en faisant attention au bébé, vers son village. Elle ne parlait pas la même langue que Maria ou Jésus. C'était différent. Elle pénétra dans un endroit clos, et y déposa le bébé à terre. Elle le déposa prés d'un feu. Puis sortis de cet endroit pour revenir juste deux seconde plus tard, avec une sorte de biberon d'un ancien genre. Ainsi, la personne qui venait de recueillir l'enfant des eaux, nourrit ce jeune bébé totalement frigorifié et assoiffé. Une fois repus, elle déposa le petit enfant sur ce qui ressemblais de plus prés à un lit en peau de bête. C'était une femme. Elle devait être un petit peu plus âgée que Maria, mais pas de beaucoup. Elle devait approcher la trentaine. Elle regarda le petit être qui était posé la sur ce lit. Elle s'assura qu'il avait bien chaud avant de ressortir de l'endroit où l'enfant dormais. Elle parcourra tout le village, pour aller quérir son mari. Le chef. Arrivé prés de l'endroit où se tenait le conseil du village, elle s'arrêta de courir, pour commencer à marcher. Elle s'installa derrière son âme sœur, puis attendit qu'on la remarque et qu'on lui donne la parole. Il y avait dans ce conseil cinq homme et deux femmes. Il s'agissait des patriarches des sept grandes familles de la tribus. Et chaque semaine, ils se réunissaient pour vérifié la bonne entente et la bonne marche de la vie au sein de la tribu et dans le village.

    La jeune sauveteuse de Miguel, attendit une quinzaine de minutes, avant que son mari, le chef suprême du village lui accorde la parole. Elle déclara alors dans sa langue:


      « Mes prières ont été exaucés. Notre Dieu à entendu mes prières. Alors que je partais, pour nettoyer les peaux que tu as ramener la veille, j'ai vu un carton flotter sur l'eau. Tout d'abord en colère, fasse à cette pollution venant des gens de la villes, j'ai découvert le plus beaux des cadeaux à l'intérieur. Un enfant. Un bébé. Un garçonnet. Il doit avoir à peine une semaine. Il faut que tu viennes pour le voir. Il faut aussi que tu regarde, si il est en bonne santé. Je l'ai nourris avec du lait, je l'ai réchauffé au prés du feu, mais j'ai peur pour sa santé. Viens le voir, s'il-te-plaît Tapu, au grand chef suprême de notre tribu. »



    Son mari n'en revenait pas des déclarations totalement loufoque de sa compagne. Mais pris d'une curiosité maladive, la suivit tout de même jusque son tipi. Il y pénétra et vit que les dires d' Ayaba étaient fondés et vrai. Il vit le petit être allongé sur son lit en peau de bête. Il n'en revenait pas. Leur Dieu avait exhausser leur prière. Il examina attentivement le nourrisson et pu déterminer avec faciliter sa date de naissance à quelques heures prés. Puis, il invita les autres membres du village à pénétré dans ce qui lui servait de maison, mais aussi de chambre, de salon, etc. Tout le monde s'émerveilla devant le jeune enfant. Puis, le chef, parla à voix haute tout en prenant l'enfant dans ses bras.


      « Mes frères, mes sœurs. Mes amis et compagnons et tout les jours notre Dieu Chu'a nous à une nouvelle fois montrer à quel point nous comptons pour lui. Il nous à montrer à quel point il écoutait nos prière et qu'il faisait tout son possible pour les exhausser. Aujourd'hui, il à produit un miracle. Aujourd'hui, cet enfant est arrivé jusqu'à ma femme, Ayaba. Remercions notre dieu. Faisons une fête en son honneur, montrons lui que nous croyons encore plus en lui et que notre fois est inébranlable. Et surtout nous fêterons aussi la venue du jeune Chu'a Tallulah parmi nous. Parmi ma famille »



    Des bruit stridents de cris de joies résonnèrent. Mais l'enfant ne fut pas réveiller. Toute les personnes qui avaient pénétrer dans la tipi du chef suprême en sortirent pour aller préparer les festivité du soirs, tandis que ceux qui avaient du attendre dehors pénétrèrent dans la tente en triangle, pour saluer et bénir l'enfant venu des eaux.

    Une fois tout le monde dehors, le jeune Ayaba, celle qui avait sauver le petit Miguel, le prit dans ses bras pour lui parler, mais cette fois dans une langue plus familière.


      « Tu es mon fils maintenant. Et je t'aimerais comme jamais. Je serais toujours là pour te protéger. Tu es Chu'a Tallulah, Serpent de l'eau bondissante et tu es venu à moi. Je t'aime mon ange. »


Dernière édition par Liam C. Campbell le Ven 8 Jan - 4:40, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Liam ; Alma quebrada e não obstante o assassino impiedosamente ; [U.C]   Liam ; Alma quebrada e não obstante o assassino impiedosamente ; [U.C] EmptyLun 4 Jan - 4:42
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Un dernier pour la route au cas où !!
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