| | | Kiersten Conelly ; Everyone has drama in his life |  |
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Kiersten Conelly
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| Sujet: Kiersten Conelly ; Everyone has drama in his life  Mer 30 Déc - 4:15 | |
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■ Vous en long et en large :
Je ne suis pas une personne exceptionnelle, mais puisqu’il le faut, voici une présentation rapide de qui je suis.
Mon nom est Kiersten Conelly, j’ai 18 ans, bientôt 19, je suis née le 2 février 1991. Ni mon nom, ni mon prénom n’ont de signification particulière, ou en tout cas je n’en ai jamais eu vent. Je suis née et j’ai toujours vécut à New York, dans une belle et grande maison dans le Queens ; il faut dire que mes parents sont plutôt riches. J’ai tout de même beaucoup voyagé, en compagnie de ma marraine le plus souvent, et j’estime que c’est une grande chance. J’ai découvert mes pouvoirs d’hybrides il y a environs 12 ans, mon animal totem est le même que celui de mon père.
Voilà ce que je peux dire sur mon identité, et je peux vous assurer qu’à New York, des comme moi, il y en a des tas.
■ Race : Felidae
■ Animal totem : Chat
■ Niveau : Delta
■ Vos trois premiers pouvoirs: Souplesse, rapidité et vision nocturne
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Dernière édition par Kiersten Conelly le Sam 9 Jan - 23:12, édité 2 fois | |
| | | | Kiersten Conelly
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| | Sujet: Re: Kiersten Conelly ; Everyone has drama in his life Mer 30 Déc - 4:51 | |
| || Explain Us Who you are ;|| ■ Histoire:
20 Juin 1997 :
« Kiersten, mon chaton, viens me voir. »
Comme à mon habitude, je grimpais sur les genoux de mon père. Lui et maman souriaient, chacun assis sur une chaise autour de la table de la cuisine. C’était une belle et grande pièce, avec un plafond haut, des meubles en ébène et une lourde table en bois en son centre.
« Maman et moi avons une très bonne nouvelle à t’annoncer »
Ma mère se leva et vint déposer ses lèvres sur ma tempe, en même temps qu’elle me disait :
« Tu vas avoir un petit frère, ma chérie. Un petit frère qui s’appellera Cameron.»
Revenant peu à peu de ma surprise, je me tournais pour regarder mon père. Il avait l’air heureux, et ses yeux larmoyaient à la fois.
« Mais papa pourquoi tu pleures ? Dis, il est où mon petit frère ? Je l’aurai quand ? »
28 Septembre 1997 :
« - Kiersten, lève-toi, c’est l’heure maintenant.
- Marraine ? Où est maman ?
- On va aller la voir, prend d’abord ton petit déjeuner et ensuite je t’emmène. »
Je regardais la route sans la voir, je me posais des questions. Marraine n’avait pas voulu me dire où elle m’emmenait ni où était maman. Ce n’est que lorsque le moteur de la voiture s’arrêta que je fis attention à ce qui m’entourait : nous étions sur le parking de l’hôpital.
Marraine ne répondait toujours pas à mes questions, elle se contentait de me tenir par la main et de me rassurer de temps à autre. Elle parla pendant quelques instants avec une dame à l’accueil, puis m’emmena à travers des tas de couloirs qui se ressemblaient tous. Nous montâmes dans un ascenseur, puis de nouveau, un dédale de couloirs. Elle ouvrit enfin une porte. Papa regardait par la fenêtre, il ne tourna même pas la tête pour nous regarder entrer. Maman, elle, était allongée dans un lit. Elle me regardait et pleurait en même temps, elle avait des cernes énormes sous les yeux. Plus je m’approchais, plus elle pleurait, et quand elle put enfin me prendre dans ses bras, elle ne cessa de répéter :
« Je suis désolé, je suis désolé… Ton petit frère ne viendra pas, je suis désolé… »
28 Janvier 1998 :
« - Je t’emmène chez marraine, tu vas vivre là bas pendant quelques mois. Elle t’emmènera à l’école tous les matins et je passerais souvent te voir, c’est promit.
- Et maman viendra aussi me voir ? Pourquoi je dois aller chez marraine aussi longtemps ?
- Maman est très malade depuis qu’elle est rentrée de l’hôpital tu le sais bien. Si tu dois partir, c’est pour qu’il y ait plus de calme à la maison et qu’elle puisse mieux guérir. Tu pourras rentrer et la voir quand elle ira mieux.»
Je me mis à pleurer toutes les larmes de mon corps, je protestais de toutes mes forces pour ne pas partir, je promettais d’être sage, d’être calme, pourvu que je puisse rester. Mais peu importe ce que j’ai pu dire ce jour là, il m’a quand même emmené chez ma marraine sans même me laisser dire au revoir à ma mère. Et contrairement à ce qu’il m’avait promit, je ne restais pas là bas : le soir même je pris l’avion en compagnie de ma marraine et nous nous installâmes toutes les deux dans un appartement en plein cœur de Los Angeles pour toute la durée de mon séjour.
2 Février 1998 :
Même le jour de mon anniversaire mon père n’était pas venu me voir. Il n’avait pas téléphoné non plus. Ma marraine m’avait offert plus de cadeaux que les autres années, sûrement pour compenser ceux que je n’allais pas avoir. Mais elle avait bien vu que je ne me souciais pas d’avoir des cadeaux ou non, j’étais juste triste. Et toutes ses tentatives pour me dérider échouèrent.
3 Juillet 1998 :
Mon père était venu me chercher, enfin. Longuement, il m’avait serré dans ses bras et s’était excusé, mais c’est dans le silence le plus complet qu’il me ramena à la maison. Je lui en voulais. Profondément.
Lorsqu’enfin je remettais les pieds chez moi, et que je vis ma mère… Elle semblait encore plus dépressive et maigre que lorsque j’étais partie. La seconde chose que je remarquais, c’est qu’elle est mon père ne se regardaient plus. Ils étaient heureux de me revoir, mais semblaient pourtant plus malheureux que jamais. Mais quand les avais-je vus sourire vraiment pour la dernière fois ? Que s’était-il passé ?
15 Aout 1998 :
Je n’oublierai jamais ce jour, quoique je fasse.
Le jour de ma première transformation. Le jour du suicide de ma mère.
20 Aout 1998 :
Mon père, après avoir passé 5 jours à pleurer, s’était décidé à me parler des hybrides. Il m’expliqua leur histoire, pourquoi nous pouvions nous transformer, que j’allais me sentir mal mais que j’irai mieux avec le temps. Lui pouvait se transformer en chat tout comme moi, et ma mère en puma. Mais il s’arrêta à cette anecdote et refusa de répondre à mes autres questions. Pourtant, dieu seul sait combien j’en avais et combien j’avais besoin de réponses. C’était tout simplement trop douloureux pour lui. Il s’enferma dans sa chambre et ne descendit pas pour dîner.
16 Septembre 2008 :
« Kiersten… Je suis désolé. Ta marraine est morte. »
Stupeur.
« Je te dois des explications, tu n’es plus une enfant, tu as le droit de savoir maintenant. »
Au fur et à mesure de son récit, je sentais des larmes qui me montaient aux yeux et qui roulaient sur mes joues. Enfin, enfin ! je les avais, mes réponses. Toutes. Absolument toutes. 10 ans plus tard. Et petit à petit, des tas et des tas de sentiments m’envahissaient tous à la fois : la tristesse, la haine, le soulagement et la fatigue. La mort de ma marraine devenait plus réelle, celle de ma mère avait enfin une explication.
Mon père m’expliqua que lui et ma mère était à la tête d’une association qui visait la protection des Felidaes. Ils étaient puissants et redoutés par les Hunters. Ma mère avait avorté alors qu’elle avait été piégée par des Hunters, et était devenu gravement dépressive après cette perte. Mon père m’avait exilée chez ma marraine pour plusieurs mois contre la volonté de ma mère pour me cacher une seconde grossesse. Il avait réussi à la convaincre d’abandonner l’enfant pour sa sécurité, car en effet toute notre famille, y comprit moi, était déjà pourchassée par les Hunters ; elle avait accepté, mais ne lui avait jamais pardonné de lui avoir infligé une seconde perte, à laquelle elle ne survécut d’ailleurs qu’un peu plus d’un mois.
Mais il n’avait pas eu tort de vouloir protéger cette enfant : ma marraine venait d’être tuée par des Hunters, ils avaient finit par la trouver, donnant une fois de plus la preuve que tout ceux qui approchent la famille Conelly sont en danger de mort.
Dernière édition par Kiersten Conelly le Sam 27 Fév - 23:43, édité 10 fois | |
| | | | Kiersten Conelly
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| | Sujet: Re: Kiersten Conelly ; Everyone has drama in his life Sam 9 Jan - 1:35 | |
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Dernière édition par Kiersten Conelly le Sam 27 Fév - 23:54, édité 1 fois | |
| | | | Kiersten Conelly
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| | Sujet: Re: Kiersten Conelly ; Everyone has drama in his life Sam 9 Jan - 20:50 | |
| || Now you can write ||
Histoire de voir comment vous vous débrouillez, un RP de 20 lignes minimum vous est demandé. Style et sujet libres.
15 Aout 1998 :
Kiersten s’était levée tôt pour la dernière fois de la semaine : s’était vendredi. Elle prenait sont petit déjeuner en compagnie de son père, dans cette grande cuisine aux couleurs chaudes qu’elle aimait tant. Sa mère, Carley, se levait plus tard, cela faisait bien longtemps qu’elle n’allait plus travailler : depuis ce séjour à l’hôpital, elle avait stoppé toute activité. Elle était devenue gravement dépressive lorsqu’elle était rentrée à la maison après ses soins et Kiersten avait bien l’impression que depuis elle n’avait plus revue sa mère heureuse. Elle songeait à cela, tout en jouant avec ses couverts ; elle n’avait pas franchement faim.
Elle ressentait parfaitement la détresse de sa mère, sans en saisir le sens, elle était encore très jeune. Elle se disait qu’elle aurait aimé la voir sourire, sincèrement, voir autre chose que ce sourire grimaçant auquel elle avait le droit tous les jours et qui coutaient une énergie considérable à sa mère pour un résultat vraiment médiocre.
Elle leva les yeux au-dessus de son assiette pour regarder son père, Adrian. Il mangeait ses œufs avec appétit, comme tous les matins. Il faisait des efforts surhumains pour maintenir l’équilibre dans la famille : il travaillait avec vigueur, tout en s’occupant de Carley ou de Kiersten à chaque seconde de son temps libre sans jamais montrer un brin de tristesse, un brin de faiblesse. Il avait peur pour sa femme, peur pour sa fille et faisait tout son possible pour rendre la vie la plus normale possible à l’une et l’autre, il redoutait que cette situation tourne encore plus mal. Mais bien sûr, il n’en laissait jamais rien paraître.
Ses efforts commençaient à payer depuis deux semaines, l’état de Carley s’était légèrement amélioré : elle paraissait plus présente, les yeux moins souvent dans le vide, elle sortait plus de sa chambre, parlait plus normalement.
« Tu ne manges pas ? Va finir de te préparer, le bus va arriver. Je te mets de quoi grignoter dans ton sac. »
Kiersten alla à la salle de bain faire sa toilette, passa rapidement embrasser sa mère encore endormie et descendit en trombe les escaliers, attrapant son sac sur la table de la cuisine au passage. Elle dît au revoir à son père puis alla attendre le bus dehors.
*****
« Comment se porte la petite Conelly ? Son père m’a appelé pour me demandé comment elle se comporte à l’école. »
« Je n’ai toujours pas noté de changement de comportement. Elle est forte, cette petite… »
« Je suis d’accord avec vous. Mais cette situation est bien malheureuse… »
La maîtresse de Kiersten et le directeur de l’école discutaient tout en surveillant les jeunes enfants qui courraient autour d’eux.
« Mais ça ne m’étonne pas qu’elle fasse toujours comme si elle n’était en rien ébranler, avec l’éducation qu’elle a eut. C’est une jeune fille exemplaire, gentille et jolie comme un cœur, toujours souriante, toujours polie, toujours première de sa classe et tous ses camardes de classe l’apprécie beaucoup. Ce n’est pas souvent qu’on trouve toutes ses qualités réunis chez une seule personne, je ne sais pas quel est le secret de ses parents, mais elle ressemble en tout point à l’enfant parfaite. »
« Son père s’inquiète beaucoup de son morale, il l’aime énormément. Si elle venait à aller mal, il ne s’en sortirait plus. C’est déjà assez dur pour lui de voir sa femme… »
« Vous n’avez toujours pas réussi à savoir ce qu’il s’est passé ? Une femme si gentille pourtant… Et pourquoi Kiersten a été scolarisée ailleurs durant si longtemps ? »
« Apparemment c’était parce que sa mère était trop malade durant cette période. Et la seule raison qu’il m’ait donnée à propos de sa dépression est son avortement. »
« C’est difficile de croire qu’elle soit toujours dépressive depuis le temps que cela a eut lieu… »
« Vous ne croyez pas si bien dire, ma chère. »
Ils se taisaient tous les deux, regardant la jeune Conelly. Elle riait, essayant de rattraper un garçon qui semblait la fuir. Elle ne tarda d’ailleurs pas à le dépasser.
*****
« Maman ? Je suis rentrée ! »
Silence. Kiersten se dirigea vers la cuisine pour se prendre quelque chose à manger, puis monta les escaliers et se dirigea vers la chambre de sa mère. Elle devait encore se reposer, mais tant pis, Kiersten voulait la voir. Elle ouvrit la porte.
Une horrible douleur lui traversa le corps sans aucun signe avant coureur. Elle essaya de l’ignorer et de courir vers sa mère mais elle tomba par terre. Elle levait les yeux et voulu crier à l’aide, mais sa gorge était trop nouée, et à la place d'un cri, se furent des larmes qui coulèrent de ses yeux. Elle voyait sa mère pleurer, elle aussi, allongée sur son lit. La tâche de sang qui recouvrait une bonne partie des draps s’élargissait à une vitesse alarmante, mais la petite Kiersten ne pouvait rien faire, la douleur qu’elle ressentait était trop intense pour qu’elle puisse bouger ou émettre le moindre son, elle ne pouvait rien faire d’autre que regarder le sang qui s’écoulait du bras de sa mère. Une autre vague de douleur la submergea et sa vision s’assombrit. Elle jeta un derrière regard à sa mère avant de devenir complètement aveugle : celle-ci souriait, elle souriait ! Un véritable sourire, comme si elle n’avait jamais été malade. Mais déjà Kiersten ne voyait plus rien, et il lui semblait ne plus reconnaître son propre corps, que le mal qui la possédait le déformait par la douleur. Elle perdait peu à peu conscience, mais put toutefois entendre la voix de sa mère.
« Tu… Tu es le… portrait craché de ton père… Tu es ma… magnifique… »
Elle rajouta autre chose, mais sa fille ne l’entendit jamais.
*****
Adrian rentrait chez lui, soulagé. Le directeur l’avait rappelé à son travail, il y a une heure et lui avait donné de plutôt bonnes nouvelles. Il rentrait tard, une fois de plus, mais cet appel semblait l’avoir revigoré et il se sentait d’attaque. Il ouvrit la porte, et entendit une sorte de bruit étouffé. Il appela Kiersten, elle ne répondit pas. Il monta précipitamment les escaliers et ouvrit toute les portes une par une, cherchant désespérément sa fille, jusqu’à arriver devant la porte de sa chambre. Il marqua un temps d’arrêt, souffla un peu pour effacer sa panique et entra tout doucement pour ne pas réveiller Carley. Précaution inutile. Avant qu’il ait finit d’ouvrir la porte, un nouveau cri retentit à l’intérieur de la pièce.
La première chose qu’il vit fut sa fille, nue à coté de ses vêtements, qui semblait faire un cauchemar : les yeux fermés, elle remuait et elle semblait vouloir crier, mais il ne sortait de sa bouche qu’un son strident une fois de temps en temps. Il se précipita sur elle, mais la couleur du sang qui avait envahit le lit attira son regard. Carley baignait dans son sang, et semblait elle paisiblement endormie, mais sa peau été d’une blancheur anormale. Adrian se releva et s’approcha de sa femme. Elle était morte, depuis peut-être trois heures. Il pleura, voulu s’effondrer, mais un nouveau cri de sa fille le ramena à la réalité. Il appela tout d’abord Lillian, la sœur de Carley, lui expliqua la situation et la supplia de venir pour emmener Kiersten à l’hôpital. Il appela ensuite la police.
*****
Enfin, les policiers le laissaient partir. Il roula à toute vitesse en direction de l’hôpital et se gara sur le parking.
*****
« Comment allait votre fille, ces derniers temps ? S’est-elle plainte de douleurs, ou autre ? »
« Non, elle semblait en parfaite santé, je ne comprends vraiment pas pourquoi elle est dans cet état. »
« D’après ce que m’a dit votre belle sœur, elle vient de subir un gros choc psychologique… »
« On peut dire ça comme ça… »
« … et ce choc a apparemment déclenché ses capacités d’hybrides. Or, normalement avant sa toute première transformation le corps se prépare à celle-ci, ce qui se manifeste par un certain mal être, des migraines, maux de ventre, vertiges et de bien d’autres manières qui ne sont jamais très agréable. Mais dans le cas de votre fille, le corps n’était pas du tout préparer. C’est pour cela que la transformation c’est mal déroulée. Nous l’avons mise dans un coma artificiel pour qu’elle ne souffre plus, nous allons la réveiller bientôt mais elle va devoir passer quelques temps ici en attendant que son état se stabilise. »
« … »
« En revanche, vous devez savoir que c’est la première fois que je vois une transformation se dérouler ainsi de manière aussi brutale. Votre fille aura sûrement de lourdes séquelles psychologiques. Vous risquez d’observer de gros changements dans sa personnalité, comme des crises de colère, de la violence. Et le fait que sa mère soit morte va sûrement aggraver ses changements. L’emmener chez un psychologue ne ferait que l’énerver d’avantage, vous allez donc devoir gérer cela seul. Il va falloir la canaliser si vous ne voulez pas qu’elle tourne mal. »
« Je n’y arriverai jamais seul… »
Et il se mit à pleurer.
Dernière édition par Kiersten Conelly le Ven 22 Jan - 0:05, édité 1 fois | |
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| | Sujet: Re: Kiersten Conelly ; Everyone has drama in his life Sam 9 Jan - 21:00 | |
| || Behind the Screen ||
■ Prénom ou pseudo : Anaïs
■ Âge : 17 ans
■ Avatar : Kate Beckinsale
■ Comment avez vous connus notre forum ?? Je connais les admins depuis pas mal de temps ;-)
■ Comment le trouvez vous ?? Ben génial évidemment !
■ Votre niveau de RP (sur 10) ?? Euuh… 7 ?
■ Le code : By Liam
■ What else ? Bonne question !
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